Celui qui est le maître de lui-même est plus grand que celui qui est le maître du monde. (Bouddha)

J’ai peur de ne pas y arriver, j’ai peur de vous décevoir, j’ai peur de …

La peur, c’est bénéfique si ça déclenche une réaction qui déculpe les capacités qu’on a à faire quelque chose pour atteindre un résultat que l’on ne pensait pas possible même dans nos rêves les plus fous. Mais la peur c’est aussi un sentiment qui nous paralyse et nous empêche de réaliser les actions les plus simples comme parler ou marcher, par exemple. Elle peut détruire tout espoir de pouvoir un jour réussir. Il ne faut pas la laisser s’installer. Dès qu’on l’a repérée, il faut agir et la combattre.

Pour ma part, j’essaye même de l’endiguer avant qu’elle ne puisse m’envahir. On m’a souvent reproché d’imaginer les pires scénarios catastrophe face à une situation donnée. Mais cela ne me traumatise pas plus que ça ! A chaque fois, j’imagine comment je réagirais s’il se passait ceci ou cela et qu’est-ce que l’horreur que je vois peut m’apporter de bien. Toutes ces suppositions me permettent d’apprivoiser le pire et de me faire à l’idée d’un échec. Lorsque l’instant T arrive, j’ai déjà plein de réponses agréables à des éventualités qui pourraient se produire. S’il s’en produit une que je n’avais pas imaginée, généralement j’utilise les réponses que j’avais rêvées et je les adapte en fonction de la situation.

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