J’ai ouvert un paquet de biscuits et à ma plus grande surprise j’ai lu sur l’emballage, que le carton intérieur était bio, issu de forêts gérées durablement (même que ça ne veut rien dire !) et qu’il n’était pas blanchi pour limiter les traitements chimiques…
A part ça, les biscuits ont de l’acide tartrique, du carbonate acide d’ammonium ainsi que du sodium de je ne sais plus quoi, et j’en passe. Ils sont sans matière grasse hydrogénée ni huile de palme ! N’importe quoi !
Le tout c’est de savoir que le goût est inimitable comme dit le papier…
Je suis souvent sidérée de voir ce qu’on peut ingurgiter et je n’ai pas encore trouvé de solutions pour trouver de l’acceptable. Même les produits dits bio, je n’y crois pas. Il suffit que le champ d’à côté soit traité aux pesticides pour qu’à la moindre rafale de vent, il en profite pleinement. Je crois que c’est plutôt une mode. On paye les produits bien plus chers mais finalement rien ne dit que c’est vraiment mieux. En tout cas, je n’ai toujours rien trouvé qui puisse me convaincre d’approuver ce label…
Pour l’instant, tout ce que j’ai trouvé de naturel, c’est ce que tu fais pousser toi-même. Le goût est vraiment différent de celui du magasin et « y a pas photos » question engrais, pesticides et autres. Mais j’habite non seulement en ville, mais en plus au 15ème étage. Ce n’est pas facile, de faire un potager à la maison. D’autant plus que je n’ai pas vraiment la main verte et que j’oublie souvent d’arroser mes plantes…
En parlant de ça, j’arrête un moment d’écrire pour aller faire mes condoléances au basilic qui doit être en train de mourir de soif !
Voilà.
Je peux donner des nouvelles du basilic : Il s’est répandu sur la table, et s’il n’est pas encore mort de soif, c’est pour bientôt. Je lui ai donné un demi-verre d’eau, mais je crains que cela ne suffise pas… Pourtant, il avait fière allure, ce basilic pourpre, lorsque je l’ai acheté ! Oui, vous avez bien lu, c’est du basilic pourpre. Il y en a vraiment beaucoup de sortes : avec des grandes feuilles, des petites, de teintes différentes et de goûts, aussi. Celui-là est un peu plus poivré que les autres. Chaque année, j’en rachète depuis qu’on m’avait demandé d’aller en cueillir dans un jardin chez des amis et que je ne l’avais pas trouvé. Je ne cherchais pas cette couleur, il faut dire ! Mais on n’en trouve pas de partout et surtout pas longtemps.